Le futur, cette période si vaste.

Petite introduction.

En tant qu’écrivain en herbe et lecteur immodéré, j’ai eu l’occasion de lire un nombre incalculables de lignes sur un genre que j’aime profondément : la science-fiction.

Cependant, les années passent et j’ai remarquer que beaucoup de nos technologies ont rattrapées et dépassées certains idées qui n’étaient présentes que dans de vieilles œuvres.

Ne serait-ce que voyager sur notre bonne vielle lune, une mission impossible au début du siècle dernier.

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« La rêverie est le clair de lune de la pensée » – Jules Renard.

Aujourd’hui, presque deux décennies après le début du vingt-et-unième siècle, nous continuons d’avancer à un rythme qui est parfois effrayant. Et c’est à nôtre époque que certains concepts exploités et explorés dans les œuvres d’anticipation comment à voir le jour. Je parle de sujets qui me passionnent comme la robotique, la cybernétique et la bionique.Ce sont des sujets vastes et compliqués, encore assez mal compris et que je ne chercherais pas à expliquer dans le détail.

Concrètement, où en-sommes nous ?

Bien entendu, les robots que nous avons créer ne sont pas encore capables de prendre des décisions indépendamment de leurs utilisateurs. Terminator est encore loin de pouvoir exister, tant mieux pour notre futur.

Mais les machines sont de plus en plus sophistiqués, de nouveaux prototypes automatisés sont désormais capable (dans une limite raisonnable) de s’adapter à des changement de terrains et des chocs qui auraient réussis à faire tomber leurs prédécesseurs.
Un progrès imputable à l’amélioration des intelligences artificielles et à la capacité d’allouer plus d’espace informatique aux fonctions d’analyses de la machine.

Il existe également une idée géniale dans les œuvres de fictions. Imaginé pouvoir soulever deux fois votre poids sans efforts ou être capable d’effectuer un marathon aussi facilement qu’un aller-retour chez votre boulanger. Impossible, improbable ou impensable !

Plus maintenant, ou presque, nous sommes à une poignée années de voir apparaître de nouveaux outils robotiques : des exosquelettes mécanisés.

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Terminator à encore du chemin à faire…

D’apparences peu impressionnantes, ces morceaux de métal ont de fortes chances de bouleverser notre quotidien du futur. Des changements bénéfiques, pour la plupart…

Les applications, qu’est-ce ça peut faire ?

Une question plus exacte serait : « qu’est-ce que ça ne pourra pas faire ? »
Cependant, je vais essayer de produire une petite liste non-exhaustive des possibilités prévues pour cette future technologie.

 Pour le personnel soignant et les patients :

Le but de l’exosquelette dans le domaine médical est la réadaptation, de restaurer les fonctions motrices d’origine d’un être humain, ou tout du moins d’atteindre le maximum de celles-ci après le traumatisme du corps. Couplé au système nerveuxde l’utilisateur par des capteurs d’influx nerveux, l’exosquelette peut également suppléer aux fonctions motrices d’un patient paraplégique, et donner la possibilité de se mouvoir à des personnes paralysées ou handicapées dès la naissance. En tant qu’orthèse, l’exosquelette se différencie de la prothèse par le fait qu’il ne remplace par les membres puisqu’il les recouvre : il est donc peu invasif, peut-être installé facilement par le patient et s’adapter à son domicile, sans conditions sanitaires spécifiques à respecter. En revanche les réglages de l’exosquelette ainsi que la mise au point, la validation et la surveillance des programmes de rééducation et d’apprentissage de la mobilité se feront généralement avec l’aide des médecins et des kinésithérapeutes, qui pourront alors diagnostiquer et télé-opérer l’évolution de la rééducation de leur patient à distance.

Ces améliorations concernent le recouvrement des capacités motrices d’un patient par un apprentissage robotisé progressif et continu, le diagnostic en temps réel et à distance d’états médicaux grâce aux bio-senseurs embarqués et la connexion sécurisée au dossier médical du patient, et enfin la réduction de la pénibilité du travail physique.

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 Pour la police et les services d’ordre

Dans le cadre des forces de l’ordre, il servirait à réduire considérablement les risques que courent les agents des forces de l’ordre (blindage, vitesse, force, précision, perceptions accrues), il pourrait également servir a diminuer les risques de dommages collatéraux (supervision et téléopération à distance des agents munis de leurs exosquelettes par leurs supérieurs ou par de simples citoyens par exemple). Un agent d’intervention équipé d’un tel dispositif serait en mesure d’obtenir les mêmes résultats qu’un collègue non équipé avec une fatigue moindre, une plus grande rapidité, mais aussi de parvenir à résister à la plupart des assauts des personnes ne possédant pas d’exosquelette ou ayant des exosquelettes moins puissants.

Enfin, les capacités de perception embarquées sur l’exosquelette mécanisés, couplées à des capacités d’analyse d’images et de données issus différents capteurs divers peuvent permettre la détection et la gestion de menaces comme la reconnaissance locale et en temps réel de personnes recherchées ou à risques se dissimulant dans une foule ou la détection d’explosifs, d’armes ou produits dangereux ainsi que la plupart des dangers auxquels sont habituellement confrontées les forces de l’ordre dans le cadre de leurs opérations.

 Pour les pompiers

Les soldats du feu courent au moins autant de risques lors de leurs interventions que les services de maintien de l’ordre ; néanmoins, leurs demandes ne sont pas les mêmes. Dans un cadre opérationnel, l’exosquelette pour pompiers leur permettrait de porter plus facilement des charges lourdes, de passer ou démolir plus facilement les obstacles et d’augmenter leurs capacités de réactions ainsi que leur coordination tout en fournissant une protection accrue contre les hautes températures et les environnements toxiques et enfumés.

Quelques avantages d’un exosquelette pour les pompiers :

  • L’augmentation de la force facilite l’élimination et le franchissement des obstacles, l’excavation en cas d’effondrement mais aussi la récupération des victimes inconscientes, ou le transport d’oxygène ou d’eau en plus grande quantité.
  • Un exosquelette peut être conçu spécifiquement pour transporter des lances à incendie d’une puissance et d’une efficacité sans communes mesures avec les capacités d’intervention actuelles.
  • Il peut être aussi équipé de tout élément simplifiant la recherche et la détection de victimes, et équipé de capteurs spécifiques capables de détecter des fuites de gaz mêmes infimes, mais aussi des contaminations biologiques et chimiques.
  • La protection fournie par l’exosquelette peut enfin être adaptée aux types d’environnements (feux de forêt, fuite d’une centrale nucléaire, grisou dans une mine, avalanche en montagne, etc.).
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Vue d’artiste

Pour les travailleurs sur les chantiers

Le domaine du bâtiment est sérieusement envisagé dans les applications possible de l’exosquelette robotisé, principalement grâce à l’augmentation de la force et de la précision, indispensable sur un chantier, et souvent dans des conditions rendant complexe l’emploi d’une machine plus volumineuse.

Ainsi, le travail sur gros œuvre, en tunnel, la réparation de sites contaminés, mais aussi l’usage d’outils complexes en situation inconfortable (espace réduit, faible luminosité, basse ou haute pression, environnement à risque) sont des champs d’applications dans lesquelles l’exosquelette pourrait devenir une aide appréciable. En outre, l’exosquelette peut faciliter la prise de mesure, grâce à son positionnement GPS et à ses appareillages de mesures embarqués (instrumentation laser) ou ses modules d’aide à la décision et de suivi de la construction (superposition des plans de conception tridimensionnels de l’édifice à la réalité du terrain). Enfin un exosquelette de chantier pourrait permettre la téléopération des machines telles que : pelles hydrauliques, foreuses, grues et autres systèmes fréquemment utilisés sur les chantiers.

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Pour les sportifs

Un exosquelette motorisé peut permettre le monitoring et l’assistance robotisée de l’entraînement sportif (atteindre le geste parfait avec la force, la vitesse et la précision adéquate). Les blessures et le temps d’apprentissage de l’activité physique peuvent être réduits. Par exemple, les torsions importantes des genoux peuvent être contrôlées et évitées et la position du centre de gravité du sportif peut être stimulée (et commandée).

À l’inverse de réduire la fatigue de l’opérateur par amplification d’effort, l’exosquelette peut entrainer une résistance au mouvement et ainsi muscler le sportif au cours de son activité physique. Le but est de permettre à l’utilisateur d’évoluer sur Terre avec des contraintes de résistances physiques variables et paramétrables. Un cas concret d’un tel exosquelette est illustré par la modification du poids du sportif : le poids peut être amplifié de plusieurs fois la gravité terrestre.

L’application d’une amplification d’effort peut aussi être exploitée afin de réaliser les temps d’étirements après l’échauffement et après l’effort. D’autre part, des indications sur l’état cardiaque d’un sportif peuvent lui être perçu pour qu’il puisse anticiper ses temps de repos.

Pour le grand public :

  • Faciliter l’activité physique et la manipulation de charges ou d’objets encombrants par l’augmentation des facultés psychomotrices (force, endurance, vitesse, précision) tout en réduisant les risques des travaux domestiques (bricolage, jardinage, déménagement).
  • Faciliter l’apprentissage d’une activité (transfert d’un savoir-faire manuel enregistré par un expert et rejoué par un néophyte, ou simulation de l’activité dans un environnement immersif calqué sur la réalité)
  • Faciliter l’évaluation et le suivi de la santé en embarquant des dispositifs médicaux capables de diagnostiquer en temps réel l’état physiologique ou neurologique ou intervenant directement (premiers secours) en cas d’hypertension, d’hypotension, de défibrillation, etc.
  • Faciliter l’aide à la décision en augmentant les facultés perceptives d’un utilisateur (haptique : kinesthésique et tactile, vision, ouïe)
  • Faciliter l’interfaçage homme-machine pour commander des systèmes robotisés (aspirateur, tondeuses, humanoïdes, systèmes domotiques).
  • Faciliter l’utilisation du web (navigation via des métaphores sensorielles), d’environnements virtuels ou de la réalité augmentée en augmentant les sensations d’immersion et les capacités d’interactions.

Comme toutes les machines, un exosquelette peut être l’objet d’un tuning et être sujet à de nombreuses modifications esthétiques qui pourrait le rendre de plus en plus visible et différencié dans des manifestations sportives, culturelles et artistiques où la représentation est importante (cinéma, théâtre, etc.). Car en tant que machine et en tant que vêtement, il peut être personnalisé par son utilisateur, et donc intégrer à la fois les évolutions technologiques de ces composants internes, mais également les évolutions de la mode pour ces composants externes.

En somme, le futur promet d’être fantastique pour un amateur de science-fiction…

(source : Wikipedia – Powered Exoskeleton)

Le Bio, une solution possible contre la faim ?

  • Tout d’abord, qu’est-ce que le Bio ?

L’agriculture biologique est une méthode agricole qui exclut tout recours aux produits chimiques, utilisés notamment par l’agriculture industrielle et intensive depuis le début du vingtième siècle et les organismes génétiquement modifiés. Elle a pour objectif de mieux respecter le vivant et l’environnement. Elle vise à gérer de façon globale la production en favorisant l’agrosystème mais aussi la biodiversité, les activités biologiques des sols et les cycles biologiques. Dans ce sens, elle s’oppose à l’agriculture conventionnelle.

Des techniques spécifiques, ou empruntées à l’agriculture conventionnelle, sont utilisées :

  • La lutte biologique et la confusion sexuelle protègent les cultures des parasites, et des insectes ravageurs, par exemple par l’emploi d’insectes entomophages.
  • L’utilisation de certains produits phytosanitaires est autorisée en agriculture biologique (cuivre, soufre, pyréthrines, etc.),
  • Les cultures associées, en combinant plusieurs espèces végétales sur une même parcelle, limitent la prolifération des parasites et ravageurs.
  • La permaculture est une méthode de conception qui permet de planifier les cultures, entre autres choses, de manière à exploiter au mieux les conditions climatiques et géographiques locales, et à maximiser les interactions entre les cultures.
  • L’agro-foresterie intègre les arbres aux exploitations agricoles.
  • Les techniques culturales simplifiées limitent le travail du sol ; cette technique est difficile en agriculture biologique car elle augmente les risques de prolifération d’adventices.
  • Le semis direct sous couvert permet de restituer au sol les nutriments prélevés, d’entretenir les bactéries permettant leur assimilation par les plantes, et de limiter le développement des adventices. Cette technique issue de l’agriculture de conservation est assez délicate en agriculture biologique à cause de la gestion des adventices, même si le risque est plus faible qu’avec les techniques culturales simplifiées (présence de paillis protecteur, mortalité plus importante des graines non désirées qui restent en surface).
  • Le compostage permettent de restituer les nutriments prélevés au sol, de limiter les méfaits des intempéries, et d’entretenir le développement de l’humus.
  • Les purins qui sont avant tout des fertilisants, mais qui auraient aussi des effets sur les ravageurs.
  • La culture sans labour et l’agriculture naturelle se concentre sur un minimum ou une absence de culture mécanique et de labour pour les cultures de céréales.

Les méthodes d’agriculture biologique combinent la connaissance scientifique de l’écologie et de la technologie moderne avec les pratiques agricoles traditionnelles basées sur des processus biologiques naturels. Les méthodes d’agriculture biologique sont étudiées dans le domaine de l’agro-écologie. Alors que l’agriculture conventionnelle utilise des pesticides de synthèse et des engrais de synthèse purifiés solubles dans l’eau, les agriculteurs biologiques sont limités par la réglementation pour l’utilisation de pesticides et d’engrais naturels. Les principales méthodes de l’agriculture biologique pour améliorer la fertilité du sol et protéger les cultures comprennent la rotation des cultures, les engrais verts et de compost, la lutte biologique et la culture mécanique. Ces mesures utilisent l’environnement naturel pour améliorer la productivité agricole : des légumineuses sont plantées pour fixer l’azote dans le sol, les insectes prédateurs naturels sont encouragés, la rotation des cultures permet de confondre les ravageurs et de renouveler le sol, et des matériaux naturels tels que le bicarbonate de potassium10  sont utilisés pour contrôler les maladies et les mauvaises herbes. Des plantes plus rustiques sont générées par la culture sélective des plantes plutôt que par le génie génétique.

  • Est-ce rentable, viable ?

De très nombreuses études ont exploré les différences de rendements entre agricultures bio et conventionnelle. Ces travaux indiquent qu’en moyenne l’agriculture biologique est entre 8 à 25% moins productif que la conventionnelle. Avec de grandes variations entre les différentes plantes. Le riz, le soja, le maïs, le trèfle bio ont des rendements inférieurs de 6 à 11% mais les progrès dans les sélections de variétés laissent espérer une rapide égalité. En revanche, l’écart reste de 28% pour les fruits et de 27% pour le blé.

Une autre étude globale estime même à 33% la différence de rendement pour le soja, le tournesol et le blé. Les auteurs préviennent que ces études dépendent fortement des conditions agro-écologiques dans lesquelles elles sont effectuées d’où des différences marquées. Mais un consensus émerge sur le fait que les variétés bio sont plus résistantes en condition de sécheresse ce qui devrait arriver plus fréquemment avec le changement climatique.

  • Pouvons-nous nourrir l’Humain ?

Les succès obtenus dans les pays pauvres doivent être exploités au maximum, mais ils sont loin de compenser le déficit de rendement par rapport à l’agriculture conventionnelle productive. Nourrir toute la planète avec l’agriculture biologique nécessiterait de nouvelles terres cultivables, qui sont déjà de plus en plus recherchées et de plus en plus rares. Elles ne sont pas recherchées pour faire ce genre d’agriculture, mais tout simplement pour pouvoir se nourrir. La Chine, le Japon, la Corée Du Sud, les Émirats arabes unis, et de nombreux autres pays, manquent de terre pour nourrir. Alors ils en achètent ou en louent, en Afrique, en Amérique du sud, etc. Ils disposent aujourd’hui de 7,6 millions d’hectares « externes », l’équivalent de 5,6 fois la surface agricole utile de la Belgique.

La terre manque déjà. Pourtant, il faudrait en trouver beaucoup d’autre dans les décennies à venir, pour de multiples raisons :

  • Parce que la population mondiale continue de croître. Sept milliards aujourd’hui, neuf milliards dans une trentaine d’années.
  • Parce que le niveau de vie de la multitude des pauvres croît également. Ce qui se traduit par une demande d’autant plus importante, au-delà du seul accroissement numérique de la population.
  • Parce que les champs sont couverts par les routes, autoroutes, aéroports, résidences secondaires…
  • Parce que les biocarburants transforment les terres agricoles en champs de carburant.

 

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La FAO (« Food and Agriculture Organization of the United Nations », ou « Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture ») avait organisé une conférence à Rome, en mai 2007, pour faire le point sur les possibilités de l’agriculture biologique. La conclusion est parfaitement claire et lisible par tous sur son site :

« Il n’est pas possible de nourrir aujourd’hui six milliards de personnes, et neuf milliards en 2050, sans une utilisation judicieuse d’engrais chimiques. » (FAO, décembre 2007)

(Source  : Écologie et EnvironnementWikipedia)

Maison Familiale Rurale

Une Maison Familiale et Rurale (MFR) ou (MFREO) est un établissement de statut associatif qui a pour objectif la formation et l’éducation des jeunes et des adultes, ainsi que leur insertion sociale et professionnelle. L’engagement des parents est la pierre angulaire du mouvement.

À l’inverse de la logique scolaire classique qui est d’apprendre pour restituer, les fondateurs des maisons familiales rurales ont expérimenté une méthode pédagogique basée sur une démarche en deux temps : sur le terrain, le temps « du faire et de l’action » et à l’école, le temps «  de la réflexion et du sens ». Sans le savoir, ils ont ainsi créé une formule pédagogique bien connue aujourd’hui des CFA : l’alternance. Mais le système pédagogique des maisons familiales rurales ne se résume pas à la technique de l’alternance.

Aujourd’hui, 507 associations maisons familiales rurales (associations de formation et structures fédérales) sont présentes en France et forment, par alternance, plus de 65 000 élèves, apprentis ou stagiaires.

Les Maisons familiales rurales forment chaque année plus de 93 000 jeunes et adultes, principalement de la quatrième à la Licence pro. Depuis leur création, en 1937, elles pratiquent une pédagogie de l’alternance avec des semaines de formation en entreprise et des semaines de formation à l’école.

Une Maison familiale compte en moyenne 150 élèves, souvent internes. Ces derniers participent à la vie de l’établissement, apprennent à se prendre en charge et organisent des activités en dehors du temps scolaire. Ils sont majoritairement inscrits dans des classes sous statut scolaire dépendant du ministère de l’Agriculture (50 000 élèves). D’autres choisissent une formation en contrat d’apprentissage pour préparer des diplômes de l’Education nationale ou du ministère de l’Agriculture (10 000 apprentis) ou en contrat de professionnalisation. Plus de 33 000 adultes, qui souhaitent se perfectionner dans leur métier ou se réorienter, suivent une formation continue ou une validation des acquis de l’expérience (VAE) dont la durée est variable selon le niveau du diplôme.

(Sources : Wikipedia & MFR )

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L’Univers, un endroit où il fait bon vivre…

Depuis tout jeune, je suis fasciné par l’immensité inimaginable de l’espace. J’ai lu de nombreux ouvrages, vu de très nombreux films et épisodes concernant ce sujet…

Bref ! La dernière frontière de l’Homme est l’une de mes nombreuses passions.

J’ai également quelques appréhensions par rapport à tout ce qui se trouve au-dessus de nos petites têtes, au point que je suis incapable de me voir quitter le plancher de nos bonnes vaches terriennes.

Pourquoi cette profonde méfiance ?
Après tout, je suis parfaitement conscient que les probabilités de rencontrer d’autres civilisations intelligentes, hostiles ou non, sont infinitésimales. Ce n’est pas demain la veille que nous aurons l’occasion de boire une bonne bière avec nos petits copains à la peau verte…

Je sais également que l’espace, le truc noir et vide, n’est pas aussi dangereux et meurtrier que pourrait le laisser croire les très nombreux films catastrophes qui se déroulent dans cet endroit très propice aux imaginations les plus débridées.
En effet, les décompressions explosives sont inexistantes.  Les théories vont même jusqu’à prétendre qu’il est tout à fait possible de sauver et relativement bien soigner une personne qui a été exposée au terrifiant vide intersidéral.

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J’aimerais donc vous parler d’une poignée d’objets spatiaux véritablement effrayants, des phénomènes que même les auteurs de science-fiction les plus pessimistes et les plus inventifs n’ont pas osés inventer.

 Les étoiles hyper-véloces
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Les objets volants que nous avons tous pris l’habitude d’appeler « étoiles filantes » ne sont vraiment que de minuscules astéroïdes qui brûlent quand ils entrent en contact avec notre dense atmosphère protectrice .
Malheureusement, les vraies étoiles filantes existent réellement. Et je parle bien de vrais étoiles comme notre précieux soleil, des boules de feu nucléaire larges de plusieurs millions de kilomètres.
Ces créatures brûlantes et méchantes sont tellement rapides, indépendantes, qu’elles échappent à toutes forces gravitationnelles de leurs galaxies. Elles se baladent librement dans l’univers en détruisant impitoyablement tout ce qu’il se trouve sur leurs chemins.

Heureusement pour notre grain de peau, nous ne risquons pas de brûler de sitôt. Nos astronomes n’ont trouvés que seize de ces méchancetés errantes, ce qui est très peu quand la taille de l’univers observable est pris en compte.

2. Les trous noirs errants

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Oui, vous avez bien lus !
Les étoiles ne sont pas les seules rebelles qui aiment voyager sans permis dans le vide intersidéral.

Généralement, les trous noirs ne sont que des mastodontes invisibles, tranquilles et pas vraiment méchants. Ils préfèrent rester dans leurs coins, grignotant en paix tout ce qui a la malchance de tomber dans leurs puits gravitationnels.
Mais pas ce vandale de l’espace ! Ce monstre vorace aussi indétectable que massif a décidé que prendre du temps pour un voyage gastronomique dans les différentes galaxies était la meilleure des idées.

Et comme si ce n’était pas suffisant, cet aspirateur de l’enfer n’est pas seul.
Il à été estimé qu’il existe plusieurs centaines de ses confrères.

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Bref ! Je pourrais continuer cette liste sur plusieurs pages.
Mais, je n’ai pas non plus envie d’écrire un article trop pessimiste.

Peut-être que je continuerai sur ma lancée dans un prochain article.
Mieux encore, je pourrais essayer de prendre la direction inverse et parler des nombreuses merveilles de notre univers.

C’est tout pour cette fois-ci,
A très bientôt dans un prochain article.

Source : Cracked
(article en anglais)

Œuvres de fictions, les clichés et autres archétypes qui les peuplent…

Petite introduction, les débuts de ma faim.

Je suis un lecteur vétéran, un grand amateur de jeux-vidéo, un cinéphile de petit calibre et un téléspectateur enthousiaste. Pendant ma courte vie, j’ai eu la chance et le bonheur de pouvoir absorber énormément d’histoires, de contes, de fables et d’aventures dans mon petit crâne dérangé.

Cependant, avec l’expérience et l’âge, j’ai commencé a remarquer des points communs de plus en plus fréquents entre des ouvrages qui n’avaient rien en commun, pas même leurs supports physiques.

Des stéréotypes de personnages, des situations similaires, des idées communes…

Ceci n’est pas une critique, je ne me prétends pas être au-dessus de tout ça.
Je trouve très amusant que les récits ont tendance à décrire leurs personnages, des individus souvent héroïques, comme vertueux, courageux, forts et tout un autre tas d’adjectifs mélioratifs.stock-illustration-45098578-bouton-carre-avec-super-heros-vectorielles-libres-de-droits

Après de nombreuses heures passées à parcourir les méandre les plus mystérieux, profonds et sombres de l’internet, j’ai découvert une communauté d’individus qui ont pris sur eux pour créer une encyclopédie informelle. Celle-ci mêle sérieux et humour avec talent, rassemble de nombreux points communs et les histoires qui les partagent.
Un travail d’envergure, qui n’est pas prêt de se terminer…
Le nom de ce petit trésor dans le chaos informatique ? TV Tropes !
Malheureusement, seuls les anglophones peuvent en profiter pleinement.

Un terme étrange. Qu’est-ce qu’un Trope ?

En termes rhétoriques, un trope désigne toute figure qui emploie des termes en leur donnant un sens différent de celui qu’ils ont. Cela inclut donc la métonymie, la métaphore, l’allégorie et beaucoup d’autres figures de styles dans un genre similaire.

Un trope est un outil ou une convention narrative, un moyen de décrire une situation que l’auteur peut assumer être reconnue par son public. Les tropes sont les moyens par lesquels une histoire est racontée par quiconque a une histoire à raconter.
Les tropes peuvent être récents et sembler éculés, ou bien avoir plus de 1000 ans et sembler originaux. Ils ne sont ni bons, ni mauvais, ils sont simplement des outils que le créateur d’une œuvre artistique emploie pour exprimer ses idées au public.

(Source : TV Tropes)

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J’imagine que ces quelques explications n’ont pas vraiment répondus à toutes vos questions. Je vais donc illustres mes propos avec quelques démonstrations pratiques.

Un personnage comme Superman, un individu que beaucoup considèrent comme un Super-Héros, à bon nombre de tropes attachés à son nom.

Par exemple, comme beaucoup de héros et super-héros, il est un utilisateur de la Badass Cape (Cape du dur à cuire, pour une traduction bien ridicule d’un terme anglophone). C’est un item stéréotypé qui sert à souligner l’apparence physique et intimidante du personnage. Comme tout outils, il est parfois très bien utilisé (Batman) ou est ridiculement détourne de son sens, que ce soit volontaire ou non.

Voilà, c’est tout pour cette fois-ci
En espérant vous avoir fait découvrir quelque chose d’intéressant.
A très bientôt sur un prochain article.

L’environnement, un sujet qui nous touche tous.

  • Rapide introduction, ou qu’est-ce qu’il se passe.

Aujourd’hui, je vais survoler rapidement la question de la pollution, de la dégradation de notre précieux écosystème.

En effet, la Terre n’est pas un havre indestructible et aux ressources illimitées. La surconsommation endommage très sérieusement la biodiversité de notre monde.

Heureusement, le tableau n’est pas aussi noir qu’on pourrait le croire. Les consciences s’éveillent petit à petit, grâce aux efforts de quelques courageux, et les gouvernements ont commencé à prendre en charge un très large chantier afin de protéger notre Mère Nature.

  • Le progrès en marche, les lois pour un monde plus propre.

« C’est l’aboutissement d’un marathon législatif qui aura permis d’adopter cinq grandes lois pour préparer la France à une transition énergétique, écologique, économique et sociale. »

La lgrenelle-environnement1oi Grenelle Environnement est donc le résultat d’un parcours aussi long que chaotique. Une vraie épreuve d’endurance…
Voici les différents points importants :

  1.  Amélioration énergétique des bâtiments et harmonisation des outils de planification.
  2. Changement essentiel dans le domaine des transports.
  3. Réduction des consommations d’énergie et du contenu en carbone de la production.
  4. Préservation de la biodiversité.
  5. Maîtrise des risques, traitement des déchets et préservation de la santé.
  6. Mise en oeuvre d’une nouvelle gouvernance écologique.
  • Le développement durable ? Késako ?


Le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre à leurs propres besoins. C’est aussi simple que cela, selon la définition. Cette notion vise donc à prendre en compte l’économie, les aspects environnementaux et sociaux qui sont tous liés à des enjeux à long terme.

Ou plus simplement, c’est essayé de vivre aussi bien que possible aujourd’hui sans gaspiller les ressources de demain.

Le développement possède trois piliers inter-dépendants, aussi important les uns que les autres.
Le social, pour améliorer les conditions de travail et d’emploi.
L’environnement, pour protéger et économiser les ressources naturelles.
L’économie, pour respecter les intérêts des consommateurs.420px-schema_du_developpement_durable-svgCes trois piliers donnent naissance à d’autres points.
La viabilité, l’équitabilité et vivabilité.

Être viable, en quoi ça consiste ?
C’est assurer l’efficacité économique par une gestion saine et durable, sans préjudice de l’environnement. L’efficacité d l’emploi, c’est aussi assurer la pérennité des emplois.

Être équitable, qu’est-ce que ça veut dire ?
C’est assurer les besoins essentiels de l’humanité en logement, alimentation, santé et éducation, etc. En réduisant les inégalités entre les individus, dans le respect de leurs cultures respectives.

Être vivable, c’est quoi ?
C’est assurer le bien-être de l’humanité en préservant les ressources naturelles à long terme, en maintenant les grandes équilibres écologiques et en limitant les impacts sur l’environnement.

Voilà tout,
A très bientôt sur un nouvel article.

Sources : Wikipédia
– Grenelle de l’Environnement
Développement durable